Didier Blonde, Leïlah
Mahi 1932, éd. Gallimard,
septembre 2015
Dans le columbarium du Père
Lachaise, une plaque attire les visiteurs : on y voit une femme jeune
encore, maquillée comme pour un film muet, les doigts effleurant le menton, glissés
entre les rangs d’un sautoir que l’on devine de jais. Cette femme nous regarde,
dans un mélange de détermination et d’invite. Qui est-elle ? La plaque ne
porte qu’un nom, Leïlah Mahi, et une date, 12 août 1932, celle de son décès.
Didier Blonde va mener l’enquête.