Jean-Hubert Gailliot, Le Soleil, éd. de
l’Olivier, août 2014, 540 pages.
En premier lieu, il y a le
livre lui-même, son aspect : les 82 pages roses qui tranchent sur la
tranche blanche, insérées au début du deuxième versant du roman, et l’illustration
de couverture, façon éclipse de synthèse additive – RVB, Rouge-Vert-Bleu en
fondu au noir, quand c’est le blanc qui est attendu. Et puis il y a le titre,
simple et énigmatique, Le Soleil, posé
sous l’illustration de l’éclipse. Avant même de lire la quatrième de
couverture, on est intrigué, et déstabilisé. On a envie de s’approcher de ce Soleil-là.