Les bilans ne sont que des
balises. Comme les dates. 1er janvier, changement d’année
calendaire. Depuis peu, en France, à l’échelle cosmique : 1564, édit de
Roussillon.
Bilan, donc.
Bilan littéraire en ce 29 décembre 2016
Articles publiés sur le web
75 articles cette année (ou
peut-être 76, une recension pour Encres Vagabondes n’ayant pas été reprise sur
mon blog).
Textes publiés sur papier
Un essai sur la poésie de
Sylvestre Clancier
Un recueil de deux
nouvelles aux éditions Rhubarbe
Une postface au diptyque de
François Coupry
C’est satisfaisant
A part ça
Des monceaux de lignes
avalées, dont je n’ai rien dit (rien écrit) par égoïsme ou charité :
Honoré de
Balzac, Jean Claude Bologne, Marcel Aymé, Auguste de Villiers de l’Isle-Adam,
etc., la liste est longue, de relectures en découvertes (pour l’égoïsme)
Les très mauvais romans survolés et tus (pour la charité)
Des heures passées à dévorer des séries TV
Des heures de cours données
(non, partagées) avec des étudiants rigolos et concernés (deux promos à cheval
sur deux années scolaires qui ne sont pas calendaires)
Et puis
Les corps dans la
Méditerranée
Le traumatisme de la baie
des Anges
La victoire de François
Fillon aux primaires de la droite
La victoire de Donald Trump
aux élections américaines
Et puis, aussi
Le goût des huîtres
Le bruit de l’océan
Le sac offert par une amie (presque) inconnue
La chaleur aux épaules
durant la canicule
Les agapes avec les
écrivains de cœur, autour de Veuve Cliquot, de foie gras, de gâteaux au
chocolat et de tartes Tatin, dans la verdure inespérée des banlieues
parisiennes
Et mon chien plus que centenaire
à l’échelle humaine, corps défaillant mais mental au top