jeudi 29 décembre 2016

2016

Les bilans ne sont que des balises. Comme les dates. 1er janvier, changement d’année calendaire. Depuis peu, en France, à l’échelle cosmique : 1564, édit de Roussillon.
Bilan, donc.
 

Bilan littéraire en ce 29 décembre 2016


Articles publiés sur le web

75 articles cette année (ou peut-être 76, une recension pour Encres Vagabondes n’ayant pas été reprise sur mon blog).

Textes publiés sur papier

Un essai sur la poésie de Sylvestre Clancier
Un recueil de deux nouvelles aux éditions Rhubarbe
Une postface au diptyque de François Coupry

C’est satisfaisant

A part ça

Des monceaux de lignes avalées, dont je n’ai rien dit (rien écrit) par égoïsme ou charité :
Honoré de Balzac, Jean Claude Bologne, Marcel Aymé, Auguste de Villiers de l’Isle-Adam, etc., la liste est longue, de relectures en découvertes (pour l’égoïsme)
Les très mauvais romans survolés et tus (pour la charité)
Des heures passées à dévorer des séries TV 
Des heures de cours données (non, partagées) avec des étudiants rigolos et concernés (deux promos à cheval sur deux années scolaires qui ne sont pas calendaires)

Et puis

Les corps dans la Méditerranée
Le traumatisme de la baie des Anges
La victoire de François Fillon aux primaires de la droite
La victoire de Donald Trump aux élections américaines

Et puis, aussi

Le goût des huîtres
Le bruit de l’océan
Le sac offert par une amie (presque) inconnue
La chaleur aux épaules durant la canicule
Les agapes avec les écrivains de cœur, autour de Veuve Cliquot, de foie gras, de gâteaux au chocolat et de tartes Tatin, dans la verdure inespérée des banlieues parisiennes
Et mon chien plus que centenaire à l’échelle humaine, corps défaillant mais mental au top