On pourrait dire de ce
roman que c’est l’histoire d’un tableau. Que ce qui nous est raconté dans la
première partie, qui occupe largement les quatre cinquièmes du roman, est un
prologue, ou l’explication en amont d’une toile qui sera peinte bien des années
après, quand tout sera consommé et que la mort des parents sera venue. Alors,
en une nuit de rhum, l’autoportrait pourra surgir.